moijedis rel'actu première
moijedis rel'actu
Éditions moijedis ©
Chers lecteurs, chers amis,
Quand moijedis sera particulièrement sensible à une information, même si cette dernière ne semble pas essentielle, il se fera un malin plaisir d'en toucher le fond... Et dans les formes que vous pouvez imaginer.
L'info rel'actu du jour
Pour la première de rel'actu, je vous propose deux mini chroniques pour le prix d'une seule.
Les apprentis :
« C'est pas moi, c'est lui. Même pas vrai, c'est toi qu'as commencé à faire n'importe quoi. Oui mais, moi au moins j'ai essayé quelque chose etc... ». Je schématise, mais tel était l'argumentation de nos politiques jusqu'alors. Aujourd'hui, nous avons franchi une étape supplémentaire. Ils ne se contentent plus de critiquer les actions entreprises, mais directement les aptitudes des personnes. Belle leçon de respect pour le citoyen français ! En effet, la droite agit, la gauche regarde... Telle serait la bonne manière de faire de la politique. Je n'en fais pas une affaire de parti, imaginons l'étape suivante, si vous le voulez bien, pour le constater. A ce rythme, quand la droite sera de nouveau au pouvoir, la gauche se permettra ce type de remarques en public : « Dites-moi Monsieur Bip......., quand on roule en voiture à 60 000 € et que nous sommes inscrits au Club Bip........ pour une cotisation annuelle de 30 000 €, nous devrions prendre garde à ne pas aborder des sujets dont on ne soupçonne même pas l'existence ». Pourquoi pas ? Le monde évolue à une telle vitesse.
L'homme qui devait 5 milliards :
Avec un S.M.I.C. comme seul revenu dans le foyer, le français de base doit se demander où il habite à l'écoute de l'affaire du trader de la Société Générale. Vous rendez-vous compte ? Un salarié haut de gamme d'un établissement haut de gamme devrait rembourser à son employeur près de 5 milliards d'euros ??? Nous marchons sur la tête avec un chapeau haut de forme ! Comment peut-on en arriver là ? Qui est le vrai responsable dans ce type d'affaire ? Certains travaillent-ils les yeux bandés et les boules Quies bien enfoncées dans les oreilles pour ne s'apercevoir de rien ? - De rien, je vous en prie... Je suis là pour vous ouvrir les yeux chers lecteurs – Songez que si je rendais au bureau hors- service mon micro-ordinateur et que ma faute serait avérée à la suite d'une « autopsie » poussée, je devrais rembourser au grand maximum 500 € préjudices compris – oui, les moyens logistiques de mon entreprise sont limités. Rapport besoins / ressources très critique – Alors, le bon sens en action, comme dirait le concurrent de l'autre...