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moijedis en chanson ?
CHANSON
moijedis be back
J’espérais qu’un jour il reviendrait
Je n’ai pas cru en son départ
Si fier de lui, droit dans son art
L’auteur perdu s’est retrouvé
Rien n’a changé dans ses manières
Il croit en lui et c’est déjà ça
Fais ce qu’il te plait et tu verras
Où sont placés les garde-barrière
J’ai mis des mots où j’avais mal
Pensé mon âme fatiguée
J’ai mis des mots où j’avais mal
Remis de l’ordre dans mes idées
La vie apporte ses expériences
La mort reprend tous les vécus
Le temps efface le superflu
L’espoir renaît de l’insouciance
Il a suffit qu’elle apparaisse
Et l’homme assis s’est relevé
Emerveillé et bouleversé
Une ère nouvelle le caresse
J’ai mis des mots où j’avais mal
Pensé mon âme fatiguée
J’ai mis des mots où j’avais mal
Remis de l’ordre dans mes idées
Depuis son âme et lui se sont mariés
Les vers débordent de poésie
La terre est un immense paradis
L’humour une arme blanche ciselée
J’ai mis des mots où j’avais mal
Pensé mon âme fatiguée
J’ai mis des mots où j’avais mal
Remis de l’ordre dans mes idées
J’ai mis des mots où j’avais mal
Pensé mon âme fatiguée
J’ai mis des mots où j’avais mal
Remis de l’ordre dans mes idées
moijedis
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Pas belle ma vie ?
Pas belle ma vie ?
Lionel Jospin par moijedis d'après Laurent Gerra :
Bonjour Chers Internautes,
J'avoue qu'avec ma femme Sylviane nous ne sommes pas des internautes aguerris, mais c'est volontiers que je m'adresse à vous ce jour par l'intermédiaire de mon ami moijedis, blogueur dans l'absolu. Ne suis pas encore trop chiant là, ça va ? Je disais donc, j'ai répondu à l'invitation de moijedis, mais nous n'évoquerons pas l'action pitoyable du Président de la République puisque je me suis définitivement retiré de la vie politique. Ma femme philosophe féministe et moi nous consacrons désormais à plein temps à la défense des séries françaises sur le service public. J'ai ainsi convenu de vous entretenir aujourd'hui de ma série phare « Pas belle ma vie ? ». En effet, afin de ne pas voir partir nos héros préférés sur des chaines de télévision privées sans déontologie, nous pouvons tous ensemble lancer un cri d'espoir en direction des excellents dialoguistes pour qu'ils persistent à écrire des histoires d'une qualité non encore égalée. Contrairement à ce que j'entends dire autour de moi, je ne suis pas du tout scandalisé que Thomas (le patron du bar-restaurant « Le feu au poil ») se soit mis en ménage avec Ludovic, le patron pédé de l'auto-école du village. En tant qu'ancien premier ministre socialiste, mais nous n'en parlons plus, je suis un homme d'ouverture... D'esprit en particulier. Quant à Stéphane, l'ivrogne pilier de bistro mais au demeurant très serviable, j'étais moi aussi favorable à ce qu'il fréquente Christine, la fille cachée de Ludovic alors qu'il n'était à l'époque pas encore devenu une tapette. Rappelez-vous que Stéphane avait dans la première saison sauvé de la faillite le bar-restaurant suite à une rumeur infondée qui courait dans le bourg. Ma femme et moi étions indignés à l'idée que Thomas coupe sa bière avec de l'urine récupérée aux toilettes publiques de la commune. Ce brave Stéphane, dont l'objectif était de tordre le coup à ce stupide on-dit avait invité tout le village à partager le verre de l'amitié chez « Le feu au poil ». Ils avaient programmé le rendez-vous juste au moment où le livreur allait installer un nouveau fût de bière propre de toute adjonction de produits pour le moins suspects... Excusez-moi, mais je suis passionné. Je m'emporte toujours de la sorte pour de nobles causes. Je n'ai jamais rien connu d'aussi intense et captivant de ma longue vie d'homme politique français de premier ordre. Ce n'est pas au bar de l'Assemblée Nationale, fréquenté par d'incongrus politiciens assoiffés de pouvoir, qu'il m'aurait été permis de m'extasier comme je le suis présentement à chaque début de soirée dans mon canapé-lit à l'Île de Ré devant mon poste de télévision en compagnie de ma Sylviane. Oui Chers Internautes, sauvegardons la création française, notre spécifique et riche culture enviée par le monde entier. Merci moijedis, tu es l'espoir ! Tu es la France !
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Dico moijedis : lettre « L » comme dans... Leçon.
Laconique :
Il ne s'agit pas là d'un subtil mélange de conne et de comique, même si ces deux qualificatifs peuvent parfaitement être associés sans pour autant se confondre. La conne n'est malheureusement pas toujours comique, et la comique est généralement bien souvent loin d'être conne.
Un propos laconique se distingue par sa brièveté. Ce qui est laconique est lâché du bout des lèvres, sans conviction profonde, comme forcé. Ceci afin de répondre à une interrogation expresse de l'Express ou du Monde. Que c'est lapidaire une explication laconique !
Lascif :
Pareil au jeu du lasso pourchassant sa proie voluptueusement dans les airs, l'élégance du geste précis forme une danse lascive. Par extension nous pouvons donc dire que le lasso est un outil lascif.
Plus généralement, lascif est utilisé pour exprimer une attitude ou un mouvement sensuel, torride, voire érotique.
Méfions-nous de la décomposition du terme : dans lascif il y a « cif », mais cela n'est en aucune façon à rapprocher du produit ménager à récurer « CIF ». Là CIF, là JAX... Chacun à ses casseroles.
Lécher :
Action d'utiliser sa langue pour sucer ou effleurer quelqu'un ou quelque chose d'un mouvement coordonné et délicat.
Utilisation : Lécher une boule de glace posée sur un cornet de façon à se faire remarquer dans la rue ou sur la plage. Lécher le timbre poste afin qu'il se collasse correctement sur l'enveloppe. Lécher les souliers de Roger pour se donner bonne conscience.
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Les plus courtes sont parfois les meilleures...
Liberté – Egalité – Fraternité
Vous me mettrez beaucoup de liberté dans ce cas, merci.
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Nouveau dictionnaire moijedis des Expressions
Lettre "B"
"Boire la tasse"
Ce n'est pas pour me moquer de certaines situations, mais il y a de l'exagération dans les actes. Où faut-il en être advenu pour boire une tasse bon sang ?! Il faut savoir nerfs et raison gardés... Imaginez une tasse ? Ce n'est pas du sucre tout de même ! Excédé à l'extrême, j'ai peine à réaliser me voyant avaler une tasse d'une traite. Invraisemblable cette expression... En supposant qu'elle soit constituée de la meilleure faïence, une tasse consommée irrite la gorge. Je n'y comprends rien du tout.
"Bouche cousue"
Bouche cousue le son est difficilement perceptible. Malgré tout, même bouche cousue, un secret risquerait d'être divulgué ? Déjà, pour coudre une bouche afin d'éviter à l'autre personne de déblatérer sur une éventuelle information d'une infinie confidentialité, le chirurgien couseur ne doit pas avoir la conscience bien tranquille me semble-t-il... De plus, de haute couture ou de prêt-à-porter, certaines choses ne peuvent être admises par la morale.
"Broyer du noir"
Je suis farouchement contre. Broyer du noir comme du blanc ne résoudra en aucune manière la situation. Moudre à la rigueur...
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